Documentation v3.1 de imeteomaps :
https://imeteo.ca/html/imeteomaps
Par : André Méthot
Introduction
à la version 3.1 (juin 2025)
1-
Nouveau
système de prévision Globale du CMC :
On introduit un système de prévision nommé
GDPSIA. Il s’agit d’une nouvelle version
(expérimentale) de
prévision globale du CMC.
Ce nouveau Système
Déterministe de Prévision Globale expérimental (sélection GDPSIA
) , suscite un intérêt particulier, puisque l'évolution de la prévision
est influencée (nudged) par la solution d'un
modèle compagnon, basé sur l'Intelligence Artificielle (IA). Le modèle compagnon est une version de GraphCast (compagnie DeepMind) appelé GEML au CMC. Ce GEML, ayant une résolution de 25 km, a été entrainé ici
sur des données historiques (ERA 5,
de 1979-2016 et
analyses opérationnelles du systèeme de
prévision du centre Européen, CEPMMT/ECMWF, de 2016-2021) .
Une méthodologie
spectrale permet de calibrer le rappel vers la solution de l'IA, tout au long de
l’intégration, en insistant sur les ondes plus longues, qui sont
statistiquement mieux prévues par le modèle influenceur. Les tests de R&D ont démontré la meilleur performance de ce système, en comparaison au
système opérationnel,
aux jours 5 à 8. Les
écarts sont notables au-delà des jours 4-5.
On pourrait s'attendre à
ce que cette passe expérimentale devienne le GDPS opérationnel dans un avenir rapproché, suite à la
migration de la plateforme informatique qui a lieu en ce moment. Les produits
sont les mêmes que pour le GDPS, à l'exception de la couche Del500.
2-
Nouvelle
palette de Température :
La palette couleur des Températures et Point
de rosée a été modifiée pour les valeurs au-dessus de +5 degrés.
3-
Changements à l’Interface:
Plusieurs changements
ont été fait dans la gestion de chargement des couches en mémoire. En fait il s’agit d’une refonte. Le but était
de rendre les chargements de couches plus efficaces, et plus légers dans le cas
d’animations en particulier. Ceci
diminue la lourdeur du traitement par votre équipement ce qui peut donner lieu
à des performances plus acceptable dans le cas d’équipements vieillots, ou peu performants. Il est possible que cela ne soit pas notable
pour tous.
4-
Nouveau
bouton Radio : Loc
L’activation de ce Bouton affichera deux
repères géographiques sur la carte. Le
premier est noir et le second est rouge.
Les latitudes et les longitudes de ces repères sont affichées juste en
dessous du bouton Radio,
en degrés,
en décimales. On peut
modifier les positions en changeant les valeurs indiqués. On peut également déplacer les indicateurs
sur la carte (click and drag). Les
positions sont sauvegardées pour votre prochaine session.
5-
Deux autres nouveaux systèmes
ont été introduits,
mais ne sont pas rendus disponibles pour le moment, étant donné la capacité limitée de nos
ressources informatiques. Je les
documente tout de même ici.
Le premier est le modèle de prévision de la
qualité de l’air du CMC (RAQDPS). Il sera activé dès que possible.
En deuxième lieu, on
introduira bientôt, les diagnostiques de classification de données Radar
(sélection RADART) par types de précipitation.
Ceci est fourni le SMC. C’est un
diagnostic fondé sur l’analyse des paramètres de l’état de polarisation de
l’écho Radar reçu en tenant compte de l’état de polarisation émis. Cela sera intéressant dans les situations de
pluie/neige dès l’automne prochain.
Comme pour le modèle de qualité de l’air, la génération de produits n’est pas activé tout de suite, mais cela viendra...
6-
Enfin, quelques
petits bug ont été corrigés, notamment lors de l’évocation de Valeurs
en mode juxtaposition. Nuls doutes
que quels autres ont été introduits. À
vous de me le dire,
n’hésitez pas 😉
A) Mise en garde concernant les prévisions et les observations :
Cette interface est offerte
gratuitement afin de rendre disponible les prévisions numériques du temps
produites par les Opérations du Centre Météorologique Canadien (CMC,
Environnement et Changements Climatique Canada, ECCC), par la National Oceanic
and Atmospheric Administration (NOAA), aux États-Unis
ainsi que par le centre Européen (ECMWF).
Également certain produits d’observations satellitaires
(GOES) offert par la NOAA et distribués par UniDATA (UCAR) sur leur
site THREDDS et enfin la foudre en provenance de Blitzortung, sont préparées et redistribuées ici.
Les données sont utilisées afin de
produire des images géoréférencées qui sont ensuite offertent
à l’interface imeteomaps. Les données sont modifiées le moins possible, sauf
lorsque requis.
Ces informations sont
produites de bonne foi, de manière complètement automatisée et sans aucun
contrôle de qualité,
autre que celui qui est fait bien en amont au CMC, à la NOAA ou
au Centre Européen (ECMWF), et
autres sources. Ces informations ne se
substituent en rien aux avis et avertissements produits et transmis par les
opérations du Service Météorologique du Canada (ECCC), du National Weather Services des États-Unis (NOAA), et ainsi de suite
pour les autres organismes de services métérologiques,
sur leurs territoires de responsabilités respectifs.
En cas de disparité entre les informations
présentées à cette interface et les prévisions officielles, les avis et les avertissements
d’ECCC ou de la NOAA, il est clair que les produits, avis et
avertissements des autorités gouvernementales ont toujours préséance.
Vous êtes invité à prendre
connaissances des termes et conditions d’utilisation de cette interface, disponible
directement au site : https://imeteo.ca/html/imeteomaps ou en pressant sur le bouton hamburger (3
lignes horizontales) tout en haut à l’extrême gauche de l’interface.
B) Généralités :
Trois types de lancements :
https://imeteo.ca/html/imeteomaps pour
les sélections de systèmes de prévisions au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?nowcast pour les sélections de nowcasting au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?windmaps pour le contexte des vents sur le fleuve
Ces trois possibilités de
lancement, peuvent être associés à trois bookmarks ou favoris distincts,
afin d’en facilité le démarrage.
Notez que le contexte des
vents sur le fleuve offre une interface distincte alors que le mode de
lancement sans paramètre,
et le mode avec le paramètre ?nowcast, lancent
une interface identique;
la différence étant uniquement dans les sélections de départs
pour les cartes, ainsi
que le mode d’animation. L’interface du
mode ?windmaps est simplifié, en plus de tenir compte de vos
sélections historiques dans ce contexte.
·
l’affichage
du temps de validité est en date et heure locale pour le fuseau horaire de
l’Est (UTC-4 en
heure avancée et UTC-5 en heure normale).
On peut déplacer cette bande d’affichage du temps valide au moyen du
« click et drag ».
· Aide sur
l’interface : un bouton Aide est disponible sur l’interface. Son action change complètement la zone des
boutons et menus, ajoutant un bouton d’aide au dessus
de chaque
bouton et menus existants. L’activation
d’un de ces boutons active l’affichage de l’aide portant sur le menu qui situé
juste en dessous, au dessus de la carte météo. Le tout disparait en cliquant à nouveau sur
le bouton Aide.
· Mise à jour
des données:
L’interface, fait une mise à niveau régulièrement afin de pouvoir offrir
les données les plus récentes en tous temps. Toutefois, on ne veut pas interrompre les
activités en cours lors d’une mise à jour.
La mise à jour sera silencieuse. Les produits Radars, Foudre et
Satellites seront mis à jours automatiquement afin
d’offrir les plus récents. Dans le cas des systèmes de prévisions, les produits
ne seront pas mis à jour automatiquement par souci de ne pas interrompre une
analyse en cours. En général, il s’agit de le désélectionner et resélectionner un
système de prévision pour mettre à jour les dates des passes qui sont
disponibles au menu Date d’origine.
· Il y
a aussi un moyen simple de mettre à jour tous les paramètres temporels ‘a leurs valeurs par défaut…, en cliquant sur « Init. T » On peut désormais
remettre à jour les dates d’origines en cliquant sur un bouton : Date d’origine situé au-dessus des
menus de sélections de dates d’origines.
Les versions de l’interface précédentes à 2.1 y avaient une étiquette
inerte seulement. L’étiquette est demeurée,
et en y cliquant, on
obtiendra désormais les plus récentes dates d’origines pour les couches 1 et 2. Il est possible que les paramètres Début et
Fin d’animation ainsi que l’intervalle soient modifiés à la suite de la mise à
jour de la date d’origine puisque cela est parfois inévitable, mais la valeur de ces derniers
paramètres seront conserver en principe autant que possible, contrairement a l`action du bouton
Init. T qui replace tous les paramètres temporels à leurs valeurs par défaut.. Suite ‘a une pause assez longue (habituellement plusieurs
heures), sans
activités avec l’interface,
il arrive que l’on doive redémarrer la page de manière à rétablir
la cohérence entre les menus et la base de données.
· Sur les
deux petites images en bas à gauche : on retrouve les légendes des deux
couches. On clique dessus et elle
diminue en taille. On clique sur
celles-ci et elles reviennent à la taille normale. Sur le téléphone, on met le doigt dessus et
cela laisse plus d’espace pour la carte météo.
On peut également les déplacer et sélectionnant le symbole en flèches
croisées entre les deux légendes et en se déplaçant ensuite tout en maintenant
le clic pressé (clic et drag)...
·
L’interface conserve vos
dernières sélections de Systèmes-de-prévision et de Cartes-météo de manière à
pouvoir vous redonner ce contexte à votre prochain redémarrage. Le contexte de lancement ( ?nowcasting, ?windmaps) sera
pris en compte puisque l’on conserve les paramètres pour chacun d’entre
eux. Le mode d’animation (voir Menu Couche
section E-, dans
ce document) intercalé,
Superposé ou Juxtaposé est également conservé selon le contexte et
redonné lors de votre prochain redémarrage dans ce contexte. Similairement, on conserve aussi les
coordonnées (latitudes longitudes) de votre dernier point de clic pour les
valeurs (qu’il s’agisse de série temporelle de SpotWx, de météogrammes
(GDPS et ECMWF) ou
de valeurs au points de grilles, voir section D menu Valeur de ce
document) afin de le rendre disponible lors de votre prochaine activation de
Valeurs suite à un redémarrage. Cette
version conserve aussi la position du centre géographique de la carte, ainsi
que le niveau de zoom afin d’offrir les mêmes valeurs au prochain redémarrage.
·
Gestion de l’espace sur l’écran: Il y a des contraintes d’espace et de
stratégies d’ajustement des dimensions des menus, boutons, carte à l’écran, en
considération avec l’utilisation sur un téléphone, une tablette, ou sur un
desktop. Cela contraint pas mal les
choses. Cela est toujours en évolution.
· Sur petite
surface ou sur téléphone, en principe, une bande de défilement verticale est fonctionnelle
mais invisible sur le côté droit de l’écran, en
défilant avec le doigt de haut en bas sur le côté droit de l’écran… on peut
maximiser la surface de la carte et-ou revenir pour
utiliser les menus. Il est possible que
cela ne fonctionne pas sur toutes les marques de téléphone. Je teste sur un Samsung A5.
· Mode Plein
écran : le mode plein écran
s’applique à toute l’interface, incluant les menus du haut.
· Rotation de l’image : On peut tourner l’image en cliquant tout en
maintenant le « shift » enfoncée et trainant le doigt ou la souris de
de haut en bas. Une flèche indiquant la rotation de l’image apparait alors en
haut à droite. Il suffit de cliquer sur
cette flèche pour remettre l’image à sa position normale. Avec un téléphone ou une tablette, il suffit de déposer deux doigts et
d’effectuer une rotation pour tourner l’image.
· Sur l’image
en haut à gauche : un + et un
- pour zoom sur la carte… On peut aussi zoomer avec la roulette de la
souris bien sûr. On peut zoomer à
volonté presque, mais on voit rapidement la limite de résolution des
données de modèles et il n’est pas intéressant d’y aller au-delà de cette
limite selon la résolution du modèle.
· Tout en
haut et à l’extrême gauche dans le secteur des menus, il y a un bouton hamburger (3 lignes horizontales)…
cela permet d’aller voir cette documentation, ainsi que les données radar, ou les
séries temporelles, ou
les Tephigrammes de imeteo. D’autres items s’ajoutent dans cette section. On peut changer le background géographique
qui donne les repères (routes, villes, lieux) dans cette section. … il y a plusieurs
choix de backgrounds dynamiques (affichable sous le champs météo) et quelque ensembles de repères (dynamiques) en mode par-dessus
( Cet quelques uns
notamment de la série CanVec). Notez que les champs météo sont appliquées par-dessus les backgrounds géographiques. Dans le cas des champs continues comme la température, ces
backgrounds sont invisibles lorsque l’opacité des données est à 10/10. On peut changer l’Opacité (voir menu Opac plus loin) pour voir les repères
géographique au-dessous.
Autrement lorsque l’opacité est à 10/10
, pour les champs continues et
colorées comme la température, les seules repères
géographiques visibles sont ceux qui sont affichées en mode par-dessus. Certains sont compatibles (et inclus) dans le
background qui est sélectionné par défaut.
La superposition de ces repères par-dessus les autres backgrounds
offerts pourrait générer des incohérences d’écritures et rendre ces repères non
lisibles.
On peut donc, au besoin, retirer les couches de repère
géographiques qui sont en mode par-dessus (Couches additionnelles), lorsque le background
est incompatible et visible.
C) Menus de sélection de l’image à afficher (3 groupes menus):
1-
Menus Systèmes de
prévisions (Syst.Prev) :
Sur la
verticale sous « Syst. Prev »
· Il y a deux
(2) menus , rangée 1,
et rangée 2 un au-dessus de l’autre, pour deux couches.
·
L’utilisation de la deuxième couche (au menu 2 sur la
rangée 2), permet t’intercaler ou de superposer deux
couches différentes. Il est recommandé d’utiliser le mode intercalée (voir
menu « Couches ») lorsque
les systèmes de prévisions des couches 1 et 2 sont différents afin d’éviter la
confusion.
·
La carte météo affichée et visible correspond aux
sélections des menus rehaussés en fonte bleu et surbrillance jaune . En cour d’animation avec deux couches intercalées
, les 5 menus de sélection d’images de la rangé 1 et ceux
la rangé 2,
deviendront en fonte bleu et surbrillance jaune à tour de
rôles à la même cadence que l’affichage, afin de refléter l’affichage des cartes
en tout temps.
On peut introduire une deuxième couche
alternée ou superposées dans l’animation en sélectionnant un modèle à la
couche 2, à la place de void sur la deuxième ligne de menus…ce
modèle peut être différent de celui de menu 1 pour comparaison dans la séquence
d’animation si le mode d’affichage est intercallé ou
juxtaposé (voir menu couches).
Un utilisera la sélection void
pour le menu modèle 2 si on ne veut qu’une seule couche… dans la séquence
d’animation, et par conséquent c’est la couche 1, qui sera toujours la
couche à contenu.
Conseil : Donc en
sélectionnant la même carte
météo et la même date
d’origine (lorsque cela est possible), la sélection de deux modèles
différents aux menus 1 et 2, permet la comparaison des prévisions des prévisions de deux modèles
pour la même date de départ. Il est
préférable de faire cette comparaison en mode intercalé ou juxtaposé (voir menu
couche).
Produit
source : RDPS: modèle régional
à 10km de résolution, jusqu’à 48 heures de
prévisions
https://eccc-msc.github.io/open-data/msc-data/nwp_rdps/readme_rdps_fr/
Produit offert RDPS: Ce système de
prévision est maintenant offert sur une projection de mercator (EPSG :3857). L’imagerie a une résolution de 10km, au zoom
2. En considérant le facteur d’échelle
de la projection, les
pixels seraient distancées de près 7km sur le secteur
de Montréal au zoom 2 ( c’est le zoom maximum pour les
cartes de colorées).
Produit source : HRDPS: modèle continental à 2,5 km de résolution
sur la portion sud du canada, jusqu’à 48 heures de prévision.
https://eccc-msc.github.io/open-data/msc-data/nwp_hrdps/readme_hrdps_fr/
Produit offert, HRDPS
EST : HRDPS
sur une fenêtre est. Offre les cartes
aux heures.
Ce système de
prévision est maintenant offert sur une projection de mercator (EPSG :3857).
L’imagerie a une résolution de 2.5km, au zoom 2. En considérant le facteur d’échelle de la projection, les
pixels seraient distancées de près 1.8km sur le
secteur de Montréal au zoom 2 ( c’est le zoom maximum
pour les cartes de colorées).
Produit offert, HR SUDQC :
Présente les vents prévus sur une
bonne portion du sud du Québec sur
la projection de mercator EPSG :3857. Renouvelé 4 fois par jour. Échéance 48h.
Ce produit offre des cartes détaillés de vents pour
les marins ou autres personnes intéressées aux vents sur le secteur du sud du
Québec (voir HR SUDQC ci haut).
Remplace HRDPS S1, HRDPS S2, et HRDPS
S3
Les trois fenêtres locales sud 1 2 et 3 sont remplacées
par une seule fenêtre plus grande couvrant les même secteurs maritimes
(et plus) à partir de l’Est du Lac Ontario jusqu’aux Iles de la Madelaine.
L’Imagerie a une résolution de 1km au zoom 2, ce qui permet un traçage de flèches, a une
résolution de 5km environ.
Produit inactivé, HRDPS WEST: HRDPS sur fenêtre ouest. (nouveau) Inactivé.
Produit source, GDPS :
modèle global 15km de résolution
jusqu’à 240 heures (10 jours) sur fenêtre nord-américaine. Résolution GRIB 15km. Passe aux 12 heures.
https://eccc-msc.github.io/open-data/msc-data/nwp_gdps/readme_gdps_fr/
Produit offert GDPS : Ce système de
prévision est maintenant offert sur une projection de mercator
(EPSG :3857). L’imagerie a une
résolution de 15km, au zoom 2. En
considérant le facteur d’échelle de la projection, les pixels seraient distancées
de près 10km sur le secteur de Montréal au zoom 2 ( c’est
le zoom maximum pour les cartes de colorées).
Toutefois la résolution source du produit
demeure un facteur limitant.
Produit source GDPS expérimental NOUVEAU- système global
du CMC en version expérimentale, piloté spectralement par un modèle d'IA, un
seul zoom sur Amérique du Nord. modèle global 15km de résolution jusqu’à 240 heures (10
jours) sur fenêtre nord-américaine.
Résolution GRIB 15km. Passe aux 12 heures.
Produit offert GDPSIA, offre identique à GDPS ci-haut, à
l’exception du champs Del500. Rappelons
que la couche Del500 illustre l'écart entre la hauteur géopotentielle
de la 500mb et celle du GDPS:
Del500 = GZ500mb -
GZ500mb_du_GDPS.
A noter que, Del500 est
aussi offert pour les autres modèles globaux tels que: GFS, ECMWF, AIFS. Dans
le cas où ce système devienne le GDPS, il est bien entendu que le GDPSIA
devienne le GDPS, et
en conséquence le GDPSIA disparaitra.
GFS : système global de NCEP (NOAA) un
seul zoom sur Amérique du Nord.
Résolution
grib:
25km; Cartes aux 6h jusqu'a
240h. Passes: aux 12 heures.
https://www.ncei.noaa.gov/products/weather-climate-models/global-forecast
Produit offert GFS : Ce système de
prévision est maintenant offert sur une projection de mercator
(EPSG :3857). L’imagerie a une
résolution de 20km, au zoom 2. En
considérant le facteur d’échelle de la projection, les pixels seraient distancées
de près 15km sur le secteur de Montréal au zoom 2 ( c’est
le zoom maximum pour les cartes de colorées).
Toutefois la résolution source du produit demeure un facteur limitant.
ECMWF: système global déterministe de ECMWF (IFS) un seul zoom sur
Amérique du Nord. https://www.ecmwf.int
Résolution
grib: 28km; Cartes aux 6h jusqu'a
240h. Passes:
aux 12 heures.
Les données à la
sources sont limitées à une fréquence de 3h jusqu’à 144h, et 6h entre 150 et
240h. (Voir
section G pour les calculs des quantités de précipitations par type).
Produit
offert ECMWF : Ce système de prévision est maintenant offert sur
une projection de mercator (EPSG :3857). L’imagerie a une résolution de 20km, au zoom
2. En considérant le facteur d’échelle
de la projection, les
pixels seraient distancées de près 15km sur le secteur
de Montréal au zoom 2 ( c’est le zoom maximum pour les
cartes de colorées). Toutefois
la résolution source du produit demeure un facteur limitant.
ECMWF3: système
global déterministe de ECMWF (IFS) un seul zoom sur Amérique du Nord. (exactement les
mêmes données sources que ECMWF ci-haut mais limité à 90h de prévision). . (Voir section G pour les calculs
des quantités de précipitations par type).
Résolution grib:
28km; Cartes aux 3h jusqu'a 90h. Passes: aux 12 heures.
Étant
donné que la disponibilité de ECMWF significativement plus tard que le RDPS
(échéance 84h), le
décalage de 6h du ECMWF (90h au lieu de 84h pour le RDPS) permet la comparaison de deux modèles
en mode de temps de départ décalés, jusqu’à l’échéance de 84h du régional.
Produit
offert ECMWF: Ce système de prévision est maintenant offert sur une
projection de mercator (EPSG :3857). L’imagerie a une résolution de 20km, au zoom
2. En considérant le facteur d’échelle
de la projection, les
pixels seraient distancées de près 15km sur le secteur
de Montréal au zoom 2 ( c’est le zoom maximum pour les
cartes de colorées). Toutefois la
résolution source du produit demeure un facteur limitant.
https://www.ecmwf.int
AIFS: système AI de ECMWF (AIFS) un seul zoom sur Amérique du Nord. (exactement les
mêmes données sources que ECMWF ci-haut sauf que les
données sont aux 6 heures uniquement). . (Voir section G pour les calculs
des quantités de précipitations par type).
Résolution
grib: 28km; Cartes aux 6h jusqu’à 240h. Passes: aux 12 heures.
Produit
offert AIFS, (changement) : Ce système de prévision est maintenant
offert sur une projection de mercator
(EPSG :3857). L’imagerie a une
résolution de 20km, au zoom 2. En
considérant le facteur d’échelle de la projection, les pixels seraient distancées
de près 15km sur le secteur de Montréal au zoom 2 ( c’est
le zoom maximum pour les cartes de colorées). Toutefois la résolution source du
produit demeure un facteur limitant.
https://www.ecmwf.int
Source NEMO : obtenu
à partir Système de prévision du cycle de l’eau (SPCE, ou en anglais WCPS, pour
Water Cycle Prediction System). Modèle océanique.
Le girb est offert a 1km de
résolution.
https://eccc-msc.github.io/open-data/msc-data/nwp_wcps/readme_wcps_fr/
Produit offert, NEMO : Ce système de
prévision est maintenant offert sur une projection de mercator
(EPSG :3857). L’imagerie a une
résolution de 1km, au zoom 2. En
considérant le facteur d’échelle de la projection, les pixels seraient distancées
de près 0.7km sur le secteur de Montréal au zoom 2 ( c’est
le zoom maximum pour les cartes de colorées).
Le produit est
renouvelé 2 fois par jour aux passes sources de 06Z et 18Z, jusqu’au pronostique de 60 heures, ce qui permet
l’harmonisation avec les données atmosphériques de vents : HR SUDQC.
On obtient la couverture de glace sur le fleuve, la
température de l’eau,
la hauteur de l’eau (marées) ainsi que la force et la direction du
courant pour le fleuve Saint-Laurent à l’Est de l’iles d’Orléans et le Golf
Saint-Laurent, ainsi
que pour la portion Est du Lac Ontario.
Ce produit complète l’offre pour les marins sur le secteur du sud du
Québec (voir HR SUDQC ci haut).
GOES :
Images qui sont produites à partir de données du site
THREADDS d’UNIDATA (UCAR):
https://thredds.ucar.edu/thredds/catalog/catalog.html
On offre les canaux Visibles et Infrarouges, 02, et
13.
Ces données satellitaires offertes en proviennent du
géostationnaire GOES-Est, aux 5 minutes.
La résolution des images affichée est fonction de la taille
de la fenêtre sur l’écran,
la résolution de l’écran, et du niveau de zoom demandé. On offre 4 niveaux de zoom (0,1,2,3). La résolution maximale est offerte au niveau
3 : à une résolution de 2km (dans
le visible et l’infrarouge) sur l’ensemble du continent, et environs 1,5km sur
le nord du domaine.
FOUDRE :
Les données de
Foudre de Bliztortung sont offerte également sur 4 niveaux de zoom, à une résolution voisinant le km.
https://www.blitzortung.org/en/live_lightning_maps.php
RADAR
Sur un domaine Nord-Americain, Il s’agit d’extraits de composites
Radar offert par le CMC,
où la réflectivité équivalente est convertie en taux de
précipitation liquide (R)
ou solide (S) aux 6
minutes.
On obtient
une résolution voisinant 1,5km au zoom le plus élevé. En considérant le facteur d’échelle de la projection, il s’agit
d’une résolution réelle qui voisine 1 km sur le sud du Canada.
Un filtre très simpliste d’écho de terrain est offert
via les produits Net (R Net
et S Net),
où j’ai retiré la coloration des valeurs les plus insignifiantes
(le bleu pâle). On peut afficher le
produit complet en alternance avec le produit filtré dans un animation afin
d’aider la distinction entre le bruit et le signal dans certains cas…
GOES + :
La superposition des données Radar sur
les images GOES,
Visibles (VI)
et infrarouges (IR) est désormais rendu possible pour
l’utilisation de co-couches (menus additionnels de carte météo).
Dans le cas du Nowcasting (GOES, RADAR,
Foudre) il n y a qu'un seul domaine continental. La
couche Radar y est offerte en couche de base ou en co-couche
de manière à pouvoir la superposer par-dessus les images satellite GOES. Les
trois catégories du nowcasting (GOES, RADAR, Foudre)
ont leurs propre liste de produits (Radar aux 6
minutes, Foudre et GOES aux 5 minutes).
Les composites, Foudre sur GOES, ou Radar sur GOES sont désormais
possibles partout sur le domaine, en ayant recours aux co-couches
dans la catégorie GOES+ .
Les produits dans GOES+ sont rendus disponibles un peu plus tard que
dans leurs catégories respectives. Dans GOES+, un temps d'observation est rendu
disponible lorsque tous les produits à cette heure de validité le sont (GOES,
Foudre, Radar) Dans les catégorie spécifiques, GOES, Foudre, Radar, un temps
d'observation est rendu disponible dès que ce produit est prêt, ce qui fait en
sorte que les produits sont disponible d'abord dans
les catégories spécifiques, et plus tard dans la catégorie GOES+.
Les composites, Foudre sur GOES, ou Radar sur GOES sont possibles
partout sur le domaine, en ayant recours aux co-couches.
2-
Menu Carte météo :
Sur la verticale sous « Carte Météo »:
·
Il y a quatres (4) menus (nouveau). Les menus « Carte Météo »,
rangée 1, et rangée 2 un au-dessus de l’autre sur la gauche, sont
encore là, et s’ajoutent deux autre menus sur la droite pour les co-couches 1 et 2.
· (nouveau) Les co-couches
offrent la possibilité de superposer des contours (GZ, PNM), des flèches de direction (vents,
courants marins), ou
des symboles (centre de dépressions, etc) par-dessus la couche principale qui
sera généralement colorées,
mais pas nécessairement.
Sauf exception (sauf Radar et FOUDRE) les co-couches
appartiennent au même système de prévision, et ont même dates d’origines,
etc.
·
L’utilisation d’une couche au menu 2 (sur la rangée 2), permet
t’intercaler ou de superposer deux cartes différentes dans l’animation.
·
La carte météo affichée correspond aux sélections des
menus rehaussés en fonte bleu et surbrillance jaune. En cour
d’animation avec deux couches en mode intercalées ,
les 3 menus de sélection d’images de la rangé 1 et ceux de la rangé 2, ainsi
que les deux menus qui s’appliquent distinctement aux couches 1 et 2 (voir
section D) deviendront en fonte bleu et surbrillance jaune à tour de rôle à
la même cadence que l’affichage, afin de refléter les paramètres de la carte
visible à l’affichage en tout temps.
· Le but de
la rangée 2 est de permettre d’introduire une deuxième couche alternée
(intercalée), superposée ou juxtaposée dans l’animation
des cartes sélectionnées en rangé 1 en sélectionnant un type
de cartes différent au menu 2 (, ou-et un modèle différent, ou-et une date d’origine différente) .
· Il faut que
le modèle correspondant au menu 2 soit sélectionné à autre chose que void
si l’on veut voir quelque chose là. Voir
menu « Syst.Prev. »
· Les cartes
offertes au menu dépendent de la saison et parfois du modèle ou même du zoom. L’interface tente de conserver la sélection
de carte lors d’un changement de modèle (à l’aide du menu modèle), autant que
possible. Elle conserve également le
temps de validité autant que possible.
· Une fois la carte affichée, la légende est
mise à jour également.
·
Notez que le nombre de tuiles
affichés apparait juste à côté de chacune des cartes et co-cartes. Cela à pour but d’informer l’utilisateur qui
souhaite optimiser (minimiser) le nombre de tuile demandées en ajustant le zoom, ou la taille de
la fenêtre en conséquence. Rappelons, que pour un système de prévision donné, les tuiles
sont tous de même dimensions. Le chiffre -1 s’affiche
lorsque rien n’est sélectionné pour cette cartes ou co-carte.
·
Les précipitations sont des cumuls sur des périodes
explicitement indiquées dans les légendes ou sur le menu « Interv ». Ce dernier menu présenté
plus loin est situé dans la séquence de menus sur la droite. Cette valeur de l’intervalle de
temps déterminera également la longueur du pas de temps dans l’animation
lorsque celle-ci est en mode (menu Ani mod) est sélectionné à : début.
o
Pour le
Régional : les intervalles de cumul offerts sont 3h, 6h, 12h, 24h
o
Pour le
HRDPS : cela peut être comme le régional (ci-haut, en hivers) ou 1h, 3h, 6h, 12h
en été sur certains zoom lorsque les types de précipitations sont
absents.
o
Pour le
global ; les précipitations sont disponibles sur 6h, 12h, 24h et
48h.
o
Les intervalles
seuils et codes de couleurs sont calibrées en fonction de ces durées
d’intervalles.
o
Il s’agit de la
quantité accumulée pour la période qui précède l’heure de
validité…
o
Il s’agit de la
quantité d’eau équivalente (si c’est de la neige, ou du grésil, c’est le niveau
d’eau reçu une fois la neige fondue). Pour la neige, en moyenne, on
peut multiplier par 10 l’équivalent en eau pour avoir la quantité en épaisseur
de neige … pour la neige mouillée le facteur est plutôt 5-7, et
pour la neige très sèche à -15C par exemple, le facteur peut s’élever jusqu`a
15… et parfois même plus.
o
La sélection d’un
intervalle différent à l’aide du menu interv. (voir plus loin), aura pour effet de
changer la sélection de l’accumulation de précipitation puisque la période
d’ACCUMULATION S’AJUSTERA automatiquement EN CONSÉQUENCE.
o
La sélection
d’un modèle différent peut aussi entrainer un changement automatique de la
sélection de l’intervalle et de l’accumulation de précipitation. L’interface essaye de conserver l’intervalle
actuellement sélectionnée toutefois ce n’est pas toujours possible. Par exemple, lorsqu’il s’agit du RDPS et que
l’intervalle est à 3h,
la sélection du GDPS (dont la plus petite
intervalle est de 6h)
entrainera automatiquement une sélection de 6h pour l’intervalle
des précipitations. À l’inverse,
lorsque l’intervalle est à 6h et le modèle GDPS, la sélection du RDPS conserva
automatiquement l’intervalle de 6h du cumul de précipitations. Il faudra sélectionner 3h sur le menu interv. Si on désire revenir à la sélection
de départ pour le RDPS dans l’exemple précédent.
o
De manière
analogue, la sélection au menu de modèle niveau 2 d’un modèle ayant une période
plus longue que celle de celui du niveau 1, peut entrainer un changement
automatique de la période de cumul de la précipitation. Par exemple, si on regarde les accumulations
sur 3h avec le RDPS sélectionnés sur les menus de la rangé 1 (niveau 1), et que
l’on ajoute le GDPS (minimum 6h) et des précipitations aux menus de la rangé 2
(niveau 2), les accumulations du régional passeront à 6h automatiquement de
manière à obtenir une séquence cohérente dans l’intercalage des cartes.
· Conseil :
Supposons que les deux menus modèles sont sélectionnés à RDPS, et que la
sélection de la date de départ est équivalente aussi. Le modèle et la date de départ étant les
mêmes on peut intercaler deux cartes dans l’animation en faisant des sélections
dans les deux menus carte météo : neige et pluie, par exemple, sont
intéressant à alterner dans ce genre d’animation en mode intercalé (Menu Couches).
On peut aussi utiliser le mode d’affichage superposée
(voir Menu Couches plus loin) afin d’obtenir une carte qui combine les nuages
et la précipitation. Il s’agit de
sélectionner la carte des nuages sur le menu 2, et la précipitation sur le menu 1 (de
manière à ajouter la précipitation par-dessus les nuages, et le tour est joué.
De façon analogue, on sélectionnera les directions de
vent sur le menu 1 et les vitesses de vents sur le menu 2, afin d’obtenir les flèches de
direction par-dessus les couleurs de vitesses de vents.
Dans le cas de couches superposées, on peut toujours jouer avec l’Opacité
pour améliorer la visibilité grâce à la transparence.
·
Notez que les nouvelles cartes désormais disponibles sous
les systèmes de prévisions RADAR CO, RADAR NE, et GOESR, sont décrites dans l’aide
sur l’interface.
Il s’agit de
o
sélectionner l’un de ses système de prévisions,
o
d’activer l’Aide au
moyen du bouton Radio (voir rubrique 14 du présent document)
o
et enfin de
cliquer sur le point d’interrogation au dessus du
menu pour lequel vous voulez plus de détails
Ce niveau de détail de la description des cartes météo
n’est pas disponible pour tous les produits, mais pour les plus récents, notamment
pour le WCPS.
3-
Menu Date départ:
Sur la
verticale sous Date d’origine
·
Il y a deux (2) menus Date d’origine , rangée 1, et rangée 2 un au-dessus de l’autre.
·
L’utilisation d’une couche additionnelle au menu 2, permet t’intercaler ou de superposer deux cartes
différentes dans l’animation. Il est recommandé d’utiliser le mode intercalé ou juxtaposé, lorsque
les dates d’origine des couches 1 et 2 sont différentes afin d’éviter la
confusion.
·
La carte météo affichée correspond aux sélections des
menus rehaussés en fonte bleu et surbrillance jaune. En cour
d’animation avec deux couches intercalées , les 3
menus de sélection d’images de la rangé 1 et ceux de la rangé 2, ainsi que les deux menus distinct pour les couches 1 et 2 (voir
section D) deviendront en fonte bleu et surbrillance jaune à tour de rôle à
la même cadence que l’affichage, afin de refléter l’affichage des cartes en
tout temps.
·
Il faut que le modèle correspondant au menu 2 soit
sélectionné à autre chose que void si l’on veut voir quelque chose là. Voir menu Syst.Prev.
La date d’origine a un format simple, AAAAMMJJHH (temps
universel Z, ou UTC…il faut soustraire 4 heures à l’heure UTC pour obtenir
l’heure avancée de l’Est, et 5 heures à l’heure normal de l’Est). C’est la date et l’heure de démarrage de la
prévision… le GDPS démarre à 00Z ou 12Z, les
autres à 00, 06, 12 ou 18Z.
Extrait du texte Aide sur l’interface :
Ce menu permet la
sélection de la date d'origine (de départ) de la prévision pour la couche 1.
Lors du démarrage de l'interface, les plus
récentes dates et heures de disponibilités des produits sont mises à jours. Ce processus prend générales quelques secondes,
mais peut prendre jusqu'à 10 ou 20 secondes selon le contexte... Par la suite,
il n'est pas nécessaire de redémarrer l'Interface (comme auparavant) afin
d'obtenir les plus récentes disponibilités au menu. Le tout se fait
automatiquement. Il suffit de sélectionner le système de prévision, et de resolliciter
le menu Date d'origine pour voir si il y a du nouveau.
Dans le cas où le système de prévision est
déjà sélectionné et actif, il faut Désélectionner et resélectionner).
Ce menu devient inopérant lorsque l'animation est en mode Validité
fixée (voir menu Anim. mode, sélection Valid). En
mode Validité fixée la
date d'origine changera au grés de l'animation,
puisque cette dernière porte sur les dates d'origines offertes à ce menu. Il
est donc jugé impertinent d'utiliser ce menu pendant cette animation.
La sélection de ce menu permet l’aller
voir les prévisions faites dans le passé (plusieurs passes dans le passé sont
conservées et offertes).
On peut introduire
une deuxième couche alternée ou superposée dans l’animation (l’utilisation du
mode superposition est ici probablement impertinent… le mode intercalé est recommandé) en sélectionnant une date d’origine plus ancienne
au menu 2 (différent de celui d’en haut au menu 1) tout en ayant la même sélection qu’aux
menus 1 pour le modèle ainsi que pour la carte. Cela permet de voir les écarts entre deux
prévisions successives. Dans ce cas,
l’Interface doit réduire la plage de temps valide de manière à ne conserver que
les temps valides communs aux deux passes de modèles. Il
faut parfois recourir aux menus Début et Fin afin de retrouver toute la plage
de valeur de l’animation lorsque l’on revient à un seul modèle. Rappelons que l’interface essaye de ne rien
changer si les sélections en vigueur sont faisables.
Voir
menu Anim mode pour un cas particulier…
Un clique sur le bouton Date d’origine situé juste au-dessus du menu, rétablira la
valeur la valeur automatique de celles-ci.
Notez que dans le cas d’un système de prévision, la disponibilité d’une
date d’origine plus récente depuis votre dernière sélection du système de
prévision n’entrainera pas automatiquement une mise à jour afin de ne pas
déranger votre analyse en cours. Suite au clique sur ce bouton, la plus récente date d’origine sera
rendue disponible sur le menu des dates d’origines. Il vous suffira de sélectionner la plus
récente si vous le désirez. Par ailleurs, dans le cas de données Radar ou Satellites, la plus
récente date d’origine est mise à jour dans l’animation dès qu’elle est
détectée.
D- Menus spécifiques aux couches 1 et 2 :
Deux menus sont doubles puisque qu’ils
portent spécifiquement sur les couches 1 ou 2.
1-
Menus Valeur :
Sur la
verticale sous Valeur :
il y a deux menus de Valeurs pour la couche 1 ou 2
Ces
menus sont à off par défaut. Il y a des options autre que off.
Ce menu permet d'activer l'obtention
de:
·
valeurs aux pixelles (selection Popup), ou
·
séries temporelles de SpotWx (TimSer ou TimSer_e ) ou
·
séries temporelles Météogrammes (ensembles) sur
certains modèles…
Popup :
L’activation de «Popup » via
ces menus permet d’obtenir l’intervalle de valeurs correspondant à la couleur cliquées pour certains champs. une aide pour interprété les
couleurs et obtenir leur plage de valeur sur la légende pour tous les champs colorées est aussi activées. La couleur de la pixelle
à l’endroit du clic,
sera recherchée dans la légende de couleur de la couche, et si elle
est trouvée, celle-ci clignotera dans la légende, ce qui permet de déterminer
l’intervalle de valeurs correspondantes.
Ce mode popup pour les valeurs aux pixelles
sur les couches de imétéomaps est disponible pour les
cartes qui ont des palettes de couleurs (températures, vents, nuages et
précipitations).
Notez que le menu
Valeur permet désormais les popup comparées , en mode juxtaposition.
(Nouveau). Il s’agit de sélectionner les
deux couches à popup sur le menu Valeurs.
Le mode
Superposition de couche entrainera le
superposition des valeur affichées ce qui est passablement inutile, mais c’est
permis….
. (Nouveau
§ Le symbole X dans la portion supérieur droite
(voir image suivante) du popup désactive la sélection au menu Valeur .
§ Le
symbole - dans la portion supérieur gauche
(voir image suivante) du popup
fait disparaitre
le popup (pour voir en dessous) jusqu'au prochain clic.
§
Le symbole –
fait donc ce que faisait le X dans l’interface précédente (pour retirer
temporairement le popup de la vue…).
Le mode POPUP sera conservé et
demeurera actif en mode d’animation pas à pas (avancer >| ou
reculer |< )
la localisation géographique sélectionnée demeurant toujours le même
jusqu’au prochain clique sur l’image. Ce mode Popup est toutefois suspendu
en mode animation ( > ).
La dernière
localisation du POPUP d’une session est conservées sur
votre ordinateur, téléphone, tablette, lors d’une redémarrage. Il ne s’agit pas de cookies.
TimSer :
La
sélection TimSer entrainera
l'affichage de séries temporelles de SpotWx dans la
même fenêtre (même onglet) que imeteomaps (option non
disponible pour WCPS et ECMWF).
La
sélection TimSer_e entrainera l'affichage de séries temporelles
de SpotWx dans une fenêtre externe (autre onglet)
à imeteomaps (option non
disponible pour WCPS et ECMWF).
La
demande pour fenêtre externe (TimSer_e) se réalise
dans un nouvel onglet, sur un téléphone ou une tablette. Sur un téléphone en
mode portrait, la sélection TimSer affichera le
graphique au bas de la page imeteomaps. Sur une
tablette en mode paysage, la sélection TimSer
affichera le graphique cote à côte avec le page imeteomaps. Le mode plein écran se désactivera automatique
si TimSer_e est demandé... Les
séries temporelles de SpotWx sont disponibles pour
les systèmes, HRDPS, RDPS GDPS et GFS.
Il faut noter ici
que l’appel à spotwx fait intervenir un logiciel
extérieur qui donne la plus récente série de données pour un modèle selon les
contraintes propres à spotwx. Il ne pourra tenir compte de votre sélection
de la date d’origine à l’interface de imétéomaps. De
plus, même avec la sélection de la passe la plus récente, il est possible que
les produits ne soient pas parfaitement en phase puisque les délais de
production de la plus récente passe ne sont pas liés.
Notez
qu'il peut parfois y avoir de légères incohérences entre les cartes imeteomaps et les séries temporelles de spotwx
en raison des interpolations. Les inhérences peuvent être plus importante en
raison de l'impossibilité de la synchronisation des dates d'origines des
produits en tout temps. Cela est causé par le fait que spotwx
ne dispose pas d'archives. Votre requête à SpotWx
vous donnera les plus récentes données disponibles pour ce système de
prévision, et cela ne tiendra pas compte de la date d'origine que vous avez
sélectionnée dans imeteomaps.
Puisqu'il
est inévitable que les mise à jour des systèmes de prévisions ne soient pas
synchronisées exactement, cela se produira plusieurs fois par jours. Ajoutons
que SpotWx offre le GFS aux heures de départs de 06
et 18Z alors que imeteomaps ne l'offre pas pour ces date d'origines à ce jour.
Autres options sous le menu Valeur :
La
sélection MeteoGrm est
offerte lorsque les systèmes de prévisions GDPS ou ECMWF sont sélectionnés. Elle entrainera l'affichage de Météogrammes (ensembles) dans une fenêtre externe (autre onglet)
à imeteomaps.
·
Pour le
système ECMWF les météogrammes s`afficheront via
l'application OpenData Charts de ECMWF . La série temporelle du modèle déterministe ECMWF y est
tracée en bleu (il s agit du même modèle que celui
qui est affiché sur la carte imeteomaps). Les autres données tracés proviennent des ensembles
de ECMWF (qui ne sont pas encore disponibles sur imeteomaps
sous forme de cartes).
·
Pour le
système GDPS ce sont les plutôt les météogrammes du
système d'ensemble GEPS qui s`afficheront via l'application SpotWx . Cet ajout permet de comparer les données des systèmes
d'ensembles ECMWF et GEPS.
Additionnellement,
lorsque le Système de prévision sélectionné est ECMWF l’option ProfVert entrainera l'affichage de Profile Verticaux de
ECMWF dans une fenêtre externe (autre
onglet) à imeteomaps.
Notez
que dans le cas des météogrammes de ECMWF, il y a une
archive. L'interface Open Charts requiert la date d'origine de votre choix, et
peut accommoder quelques passes en archives. Ainsi, dans le cas de ce modèle,
votre choix de date d'origine à l'interface imeteomaps
sera cohérent (en principe) avec les séries temporelles obtenus.
2- Menu Opac (Opacité) :
Sur la verticale
sous Opac : deux menus portant respectivement sur
l’Opacité des couches 1 et 2 respectivement (incluant
les co-couches si il y a
lieu).
Il
s’agit ici de rendre le champ météo plus ou moins transparent. Cela permet de veut voir le background
géographique (opacité = 0 rend la couche météo complètement invisible). L’opacité est à 10 sur 10 par sauf (6 sur10) pour les cartes comportant des
flèches de vents sans la grandeur du vent si elles sont (sur autre chose).
E)
Autres Menus et Boutons :
Enfin, les autres menus de sélection sont décrits dans
la suite.
1-
Menu Ani mod :
Par défaut le mode d’animation est début. Cela veut
dire que l’on animera un modèle pour une date
d’origine fixe. Cela
veut dire que l’animation porte sur divers temps de prévision en maintenant les
sélections de temps de départ (menu Date d’origine) constant. Il s’agit du mode d’animation le plus
courant où défile la prévision vers le futur, en boucle.
L’autre sélection
se nomme valid. Il permet de construire les animations en maintenant constant le
temps valide qui
est affiché au moment de la sélection, et en animant plutôt en faisant
varier les dates de d’origines (offertes au menu Date d’origine). Dans ce mode valid, le menu Date d’origine est inopérant puisque la
séquence temporelle utilise la plage de valeurs qui est offerte par ce
menu. Il s’agit donc d’utiliser les
boutons (avancer >|
ou reculer |< ) pour sélectionner une Date de
départ – d’origine de la prévision.
Cela permet, pour une
date de validité donnée de visualiser une animation >, ou faire
une animation pas à pas (avancer >| ou reculer |< )
en comparant les prévisions faites à partir de date de départs
différentes.
Conseils :
L’utilisation de ce mode permet de
voir la stabilité des systèmes de prévisions.
Les couches devraient être intercalées ou
juxtaposées dans ce contexte et non pas superposées.
La confiance dans la prévision est faible lorsque le pronostic du
système de prévision change significativement d’une passe de prévision à
l’autre. Toutefois, il y a souvent de
l’information très utile à tirer de ces situations. Cette comparaison des passes successives
permet parfois d’identifier deux (ou plusieurs) scénarios. Également, on pourra vérifier de quelle
façon, et à quelle échéance le système s’approche de la réalité en vérifiant
cette cohérence au fur et à mesure que l’on s’approche de l’événement. Notons toutefois, que la cohérence des
prévisions d’une passe à l’autre ne garantit rien, mais c’est habituellement de
bon augure. Une analyse professionnelle
est requise dans certaines situations dangereuses.
2- Menu Couches :
Ce menu permet de
sélectionner le mode d’affichage des couches 1 et 2. Ces couches peuvent être affichées :
·
en mode intercalées
( une à la fois en séquence) la couche 2 et ensuite la couche 1
·
ou en mode superposées
(la couche 2 et ensuite la couche 1 par-dessus l’autre),
·
Ou encore en mode juxtaposées (
la couche 1 sur la fenêtre de gauche et la couche 2 sur la fenêtre de
droite).
Dans certaines
circonstances, il est préférable d’avoir des couches intercalées ou juxtaposées
pour la lisibilité : cas où on
compare deux passes successives d’un modèle (dates d’origines différentes), ou cas où l’on
compare deux modèles différents…
Par ailleurs, il est
parfois intéressant de pouvoir superposer des champs , des contours sur des champs colorées, de
directions de vents sur des forces de vents, etc.
3- Menu Proj. :
On doit mentionner ici que tous les produits sont offert sur le même projection géographique
dans cette nouvelle version. Il s’agit
de la projection : EPSG:3857. Le texte
qui suit doit être interprété en tenant compte de cette particularité.
Extrait du texte Aide sur l’interface :
Le menu Proj permet de modifier la sélection de
la projection géographique de la visualisation.
Dans cette interface, de façon automatique, la
carte météo du système sélectionnée à la couche 1 sera présentée à l'écran dans -sa-
projection géographique (i.e. sans
interpolation à l'affichage). Cette projection géographique correspond à celle
de l'image météo de la couche 1 . C'est le mode de départ qui correspond à la
sélection Syst.Prev du menu. Dans ce contexte, la projection de visualisation
sera déterminée par la projection du Système de prévision de la couche 1. La
carte météo du système sélectionné à la couche 2 sera présentée à l'écran dans -la-
projection géographique de la couche 1 . Cela pourrait impliquer des interpolations lors de
l'affichage. Cela est inévitable lors de la superposition de systèmes de
prévisions différents, ayant des projections distinctes. On peut intervertir
les systèmes des couches 1 et 2, afin de changer lequel se projette sur
l'autre.
La sélection d'une projection particulière
faite au menu Proj (autre que Syst.Prev),
imposera cette projection géographique de votre choix pour la présentation des
deux couches. On peut revenir au mode de départ en re-sélectionnant
Sys.Prev au menu.
Notez que la présentation à l'écran dans une
projection différente de celle de l'image à la source entraine une
interpolation à l'affichage. Cela peut avoir un impact sur la rapidité de
l'animation.
4-
Menu Interv. :
·
Sélectionne la période de temps
sur laquelle les accumulations sont présentées.
·
Cela détermine aussi le pas de temps de l’animation
lorsque l’animation est en mode debut.
Même si la carte affichée n’est pas de la précipitation.
Par exemple si on voulait voir la
précipitation sur les derniers 12 heures (au lieu de 3 heures) qui précède
l’heure de validité du pronostic… Alors on choisit 12h sur ce menu
intervalle. Avec le choix 12h, les cartes défileront à toutes
les 12 h. Notons que le plus petit pas de temps du GDPS, GFS et ECMWF est de 6h, du
RDPS est de 3h, et pour le HRDPS (2,5km) il peut être de 3h ou de
1h.
Un clique sur le bouton Interv.
situé juste au-dessus du menu, rétablira la valeur de l’intervalle à une
valeur automatique selon le contexte.
Voir l’algorithme d’ajustement
automatique des paramètres temporels un peu plus loin.
5-
Menu Début :
Ce menu est absent lorsque
l’animation est en mode Validité fixées (voir Menu Ani Mod = valid) et est actif
dans le cas où l’animation porte sur des dates d’origines fixées (voir Menu Ani
Mod = debut).
Ce menu permet la sélection du premier
temps de prévision au début de l’animation de la couche 1. Le premier temps de prévision de la couche 2,
s’adaptera à celui de la couche 1.
Cette valeur de début de la couche 1, est le plus souvent liée à
l’intervalle de temps de l’animation (ainsi que des accumulations) puisque le
début de l’animation ne peut être plus petit que cet intervalle. Cette valeur est donc sujette à des
ajustements en fonction des choix d’intervalles. Elle doit s’ajuster pour les
deux couches en fonction de temps de départs différents par exemple. Sa valeur est alors différente pour les
couches 1 et 2. Notons que cette valeur
prendra la plus petite valeur possible qui est commune aux deux contextes
lorsque des modèles différents sont combinées (ceci est lié au plus petit
intervalle de temps commun).
Exemple : GDPS avec RDPS donne
un intervalle de 6h.
Lorsque la couche 1 représente des
données Radar satellitaires ou de Foudre, la valeur du Début de boucle prendra
des valeurs négatives par rapport à la plus récente date d’origine. Par défaut, le début s’ajustera à -1 heures. Il est possible de reculer davantage dans le
temps (jusqu’à 24h en sélectionnant avec le menu).
Un clique sur le
bouton Début situé juste au-dessus du menu, rétablira la valeur du Début
à une valeur automatique selon le contexte.
Voir l’algorithme d’ajustement
automatique des paramètres temporels un peu plus loin.
6-
Menu Fin :
Ce menu est absent lorsque
l’animation est en mode Validité fixées (voir Menu Ani Mod = valid) et est actif
dans le cas où l’animation porte sur des dates d’origines fixées fixées (voir Menu Ani Mod = debut).
Ce menu permet la sélection du
pronostic de la fin de l’animation pour la couche 1. Le pronostic de fin d’animation de la couche
2, s’ajustera automatiquement à celui de la couche 1.
Cette valeur du pronostic de fin d’animation est
fixée à 48h pour les modèles HRDPS et RDPS, alors qu’elle est à 240h pour le
GDPS. Cette valeur est sujette à des
ajustements en fonction des choix d’intervalles (il faut qu’il y ait un nombre
entier de pas de temps entre le début et la fin). Elle doit également s’ajuster
pour les deux couches en fonction de temps de départs différents par
exemple. Sa valeur est alors différente
pour les couches 1 et 2. Notons que
cette valeur prendra la plus grande valeur possible qui est commune aux deux
contextes lorsque des modèles différents sont combinées. Exemple : GDPS avec RDPS donnera 48h.
Lorsque la couche 1 représente des
données Radar satellitaires ou de Foudre, la valeur de la Fin de boucle prendra
des valeurs 0h par rapport à la plus récente date d’origine, puisque la boucle d’animation se
termine à cet heure.
Par défaut, la
Fin s’ajuste donc à 0 heures. Il
est possible de terminer la boucle antérieurement en utilisant le menu.
Un clique sur le bouton Fin situé juste au-dessus
du menu, rétablira la valeur de la Fin à une valeur automatique selon le
contexte.
Voir l’algorithme d’ajustement
automatique des paramètres temporels un peu plus loin.
7-
Bouton Init.T :
Un clic sur ce
bouton permet de ré-initialiser les
paramètre temporels : Date d’origine, Intervalle, début et fin.
Extrait du texte Aide sur l’interface :
Ce menu permet,
d'une seule touche de mettre à jour les paramètres suivants:
La date d'origine sera mise à jour à l'heure (et date) la
plus récente pour le(s) système(s) de
prévisions sélectionné(s).
L' intervalle de temps (pas de temps d'animation, et période
d'accumulation des précipitation) sera ajusté à la valeur la plus
courte possible , selon les choix de
systèmes de prévisions, du possible décalage de leurs dates d'origines, et de la
carte météo (dans le cas de cartes présentant des accumulation sur des intervalles).
Le Début de l'animation sera ajusté à la
valeur la plus petite possible ,
selon les choix de systèmes de prévisions, du possible décalage de leurs dates
d'origines et de leurs carte météo, et de l'intervalle. Dans le cas des données de nowcasting (RADAR, GOES, FOUDRE) ,
le Début n’est pas ajusté à sa plus petite valeur. Le début de l’animation est ajusté
automatiquement à 1h dans le passé. Il
est toutefois possible de demander jusqu’à 24h dans le passée
dans le cas de Nowcasting.
Enfin, la Fin de l'animation sera ajusté
à la valeur la plus grande possible, selon les choix de systèmes de prévisions, du
possible décalage de leurs dates d'origines, des cartes météo, et de l'intervalle,
ainsi que du début.
Algorithme
d’ajustement automatique des paramètres temporels :
L’algorithme
d’ajustement des intervalles (pas de temps et période d’accumulations), et des débuts et
des fins procède dans l’ordre présentée ci-haut. L’intervalle est clairement contrainte par le
choix du-des Système(s) de prévision, mais elle peut aussi l’être par le
décalage de dates d’origines des couches 1 et 2, dans le cas où on y affiche des accumulations
de précipitations. Pour un choix des système de prévisions, et de dates d’origines, l’intervalle sera déterminée
à sa valeur la plus petite,
ensuite le début sera ajusté (si requis) et enfin, la fin s’ajustera, en fonction du
début et de l’intervalle à l’intérieur des limitations imposées par les
Systèmes de prévisions et le décalages des temps
d’origines de ceux -ci.
Dans le cas des données Radar et
Satellitaires, les ajustements seront faits différemment selon les couches
jumelées. Lorsqu’un modèle de prévision
est sélectionné sur la couche 1, c’est le modèle qui déterminera les
temps valides qui seront présentés ( limitation de la
résolution temporelle… 3h pour le
Régional contre 6 minutes pour les Radars..). Comme les données Radar sont des
observations du temps passé,
et que les modèles se portent vers le futur, il n’y aura
généralement pas beaucoup de temps valident communs, à moins de reculer dans le passé avec
le modèle ! Il est donc parfois plus
intéressant de reculer la date d’origine du modèle de 24h ou de 36 heures afin
de voir une animation avec Radar comparé sur un période significative. Lorsque, le Radar ou le Satellite est sur
la couche 1 alors qu’une modèle de prévision est sur
la couche 2, c’est
le pas de temps du RADAR-Satellite qui prime, et alors le temps du modèle changera
moins souvent que l’autre,
l’image du temps modèle sera répétée dans l’animation, tant et
aussi longtemps que la données Radar ou Satellite sont plus près de ce temps
modèle que du prochain. Cela permet, par exemple, de voir
l’animation Radar aux 6 minutes pendant 3 heures, avec l’accumulation de 3 heure du
modèle pour cette période. On peu tout aussi bien ajuster l’intervalle à 3 heures avec le
menu interval si l’on veut avoir modèle et Radar aux
3 heures.
8- Bouton DuoA :
Extrait
de l’aide en ligne sur l’interface :
Ce bouton permet,
d'une seule touche, d'obtenir un panneau de boutons offrant des
associations Cartes Météo. Il s'agit de
raccourcis par rapport à l'utilisation des menus Syst. Prev. et
Carte Météo .
La date d'origine ainsi que les autres paramètres de temps (interval, prog de début et de fin, etc)
ne seront ajustés qu'en cas de nécessité seulement. Ainsi, lorsque l'on passe
du système Global GDPS à un Système HRDPS, par exemple, la date d'origine
pourrait ne pas être la plus récente, et l'intervalle de temps pour les
accumulations de précipitations/pour les pas de temps de l'animation pourraient
ne pas être ceux qui sont désirés. On peut toujours corriger au moyen des
menus, ou y aller d'un seul coup avec le bouton voisin Init.
T. qui rétablira les valeurs
typiques.
9- Bouton DuoB :
Ce bouton permet,
d'une seule touche, d'obtenir un panneau de boutons des sélections pour comparaisons (ou de
juxtaposition) de Systèmes de prévisions. Il s'agit de
raccourcis par rapport l’utilisation des menus Syst. Prev. et Cartes Météo .
Dans la majorité des cas, l'intercalage des cartes sera sélectionné
automatiquement. L'essayer c'est l'adopter !
La date d'origine ainsi que les autres paramètres de temps (interval, prog de début et de fin, etc)
ne seront ajustés qu'en cas de nécessité seulement. Ainsi, lorsque l'on passe
du système Global GDPS à un Système HRDPS, par exemple, la date d'origine
pourrait ne pas être la plus récente, et l'intervalle de temps pour les
accumulations de précipitations/pour les pas de temps de l'animation pourraient
ne pas être ceux qui sont désirés. On peut toujours corriger au moyen des
menus, ou y aller d'un seul coup avec le bouton voisin Init.
T. qui rétablira les valeurs
typiques.
10-
Bouton DuoC : desactivée
Ce bouton
donne accès à un panneau de boutons de sélections qui constituent des raccourcis pour le système de prévision WCPS. La date d’origine ainsi que les autres
paramètres de temps (interval, début, fin, prog) ne
seront modifié qu’en cas de nécessité. On peut toujours modifier ces paramètres en
utilisant les menus par la suite.
Rappelons que l’utilisation du bouton permet une mise à jour des ces paramètres aux
valeurs typiques pour le contexte WCPS.
11-
Bouton DuoD :
Ce
bouton donne accès à un panneau de boutons de sélections qui constituent des raccourcis pour le système de prévision de vents
sur le Sud du Québec.
12-
Bouton DuoN :
Ce
bouton donne accès à un panneau de boutons de sélections qui constituent des raccourcis pour la
sélection d’animations impliquant les Radar la Foudre et les Satellites. Ces animations sont tantôt préparés
en mode alternance, en
mode superposition ou justaposition selon la
sélection. Il existe plusieurs autres possibilités
de jumelage entre les Radar – Satellites
et les modèles. Il est parfois
plus rapide d’utiliser le DuoN, et ensuite faire
une modification via le menu Syst. De Prev. Ou Carte meteo afin de
personnaliser l’animation.
13-
Nouveau
bouton Radio : Loc
L’activation de
ce Bouton affichera deux repères géographiques sur la carte. Le premier est noir et le second est
rouge. Les latitudes et les longitudes
de ces repères sont affichées juste en dessous du bouton Radio, en degrés, en décimales. On peut modifier les positions en changeant les valeurs indiqués.
On peut également déplacer les indicateurs sur la carte (click and
drag). Les positions sont sauvegardées
pour votre prochaine session.
14-
Bouton Aide :
Ce bouton Aide change
drastiquement la présentation des menus, en y juxtaposant des boutons portant
le symbole « ? »
qui permettent l’affichage de documentation spécifique. L’activation d’un de ces boutons « ? » active l’affichage de
l’aide portant sur le menu qui est situé juste en dessous. Le tout disparait en cliquant à nouveau sur
le bouton Aide.
Cette documentation
est souvent redondante avec le contenu de ce document, mais pas toujours. Ce document donne l’ensemble des informations
alors que l’aide sur l’interface donne parfois des
informations plus ciblées.
F) Boutons de contrôles d’animation et d’affichages :
On retrouve un
paquet de boutons pour le contrôle de la séquence d’images.
Voici les boutons
d’animations ou d’affichages:
|
|
|
|
|
|<< aller
au début |
|< recule 1
image |
|| Arrête Ou > Démarre |
>| avance 1 image |
>>| Aller à la fin |
|
|
|
|
|
|
– ralenti le rythme (facteur 1.26) |
+ accélère le rythme |
Pre image précédente |
|
Le bouton Pre redonne
l’image précédente. Dans la
cadre d’une animation le résultat est évident, mais dans le cas où l’animation
est stoppée, ce bouton donne l’image précédente dans la liste si il y avait une animation.
Il peut être utile de cliquer à répétition sur ce même bouton pour
comparer deux cartes.
Le bouton + accélère le rythme d’animation
d’un facteur 2 à chaque clique alors que le bouton – la ralenti
d’un facteur : 1/( racine cubique de 2)
à chaque clique.
Après 1 clique +,
on revient au même avec 3 cliques -.
Notez que le pas de temps de
l’animation lorsqu’elle est en mode début
(par défaut), est sélectionné par le menu Interv. (voir
plus loin).
Le panneau de boutons de contrôles d’animations peut être
déplacés à votre convenance,
de la même façon que le panneau des légendes. Il suffit de sélectionner le symbole
comportant des flèches et de trainer le doigt, ou la souris jusqu’à la position
désirées.
G)Eléments spécifiques aux produits du ECMWF :
G -1 Introduction : Accumulation
de précipitation par types :
Le service données ouvertes de ECMWF ne fournit que la précipitation totale, par intervalles de 3h jusqu’à 144h, et par intervalles
de 6h de 150h à 240h.
Le défi pour obtenir les accumulations par type se résume
à redistribuer la précipitation d’un intervalle sous 4 formes possibles de types, pluie, neige,
verglas, grésil, en
se basant sur un diagnostic de type de précipitation.
Dans ce qui suit, tous les calculs et manipulations
portent sur le diagnostic ( le % de chacun des 4
types). La quantité de précipitation
totale n’est pas modifiée par les diagnostics de types. Partout, la somme de pluie , neige, verglas et grésil donnera le total de
précipitation obtenu du service de données.
La seule exception est l’introduction d’un filtre sur les précipitations
totale de l’intervalle, cela dans l’unique but de rendre la lisibilité
meilleure. Ce filtre affecte très peu
les valeurs…
Deux méthodes sont présentées ici. La première appelée méthodes des épaisseurs
partielles est inspirée des travaux de Cantin et Bachand
1993. Elle a été utilisée à l’hivers
2023 dans les versions 2.001 à 2.004.
La deuxième méthode est la plus récente : méthode par couches.
G-2 Méthode 1 : similaire à celle de Cantin-Bachand 1993
(utilisée dans
imétéomaps de v2.001 à 2.004) :
Les hauteurs géo potentielles de la 700mb, 850mb, et 1000mb, la pression de surface, ainsi que le
température de surface servent à diagnostiquer le type de
précipitation. Le diagnostic est fait
au début et à la fin de chaque période-intervalle d’accumulation. Il s’agit d’un diagnostic basé sur les
épaisseurs partielles avec des ajouts.
Il est décrit dans la suite.
Les règles de bases concernant les épaisseurs sont :
Si 700-1000mb >
284dam
Si 850-1000mb < 129dam è
GRESIL
SINON 850-1000mb
> 129dam è LIQUIDE
Sinon 700-1000mb < 284dam
Si 700-850mb > 154dam
Si 850-1000mb < 129dam è GRESIL
SINON 850-1000mb > 129dam è LIQUIDE
Sinon si 700-850mb < 154dam è NEIGE
La précipitation liquide peut donner lieu à la pluie ou
au verglas :
Si la
température de surface est > 0 LIQUIDE == PLUIE
Si la température de surface est < 0 LIQUIDE == VERGLAS
Montagnes :
Le diagnostic basé sur les épaisseurs ci-haut, donnait beaucoup
trop de précipitation liquide en Janvier dans les montagnes
(GRESIL et VERGLAS), en particulier les Rocheuses, les haut
plateaux, et les côtières.
La méthode d’extrapolation souterraine de ECMWF m’est
inconnue à ce jour,
mais, nous savons que la
plupart de ces méthodes sont imparfaites et le problème s’amplifie avec la
hauteur des montagnes. À la suite d’une
séquence d’examen de cas, j’ai choisi de corriger les épaisseurs au moyen de la
méthode empirique simple suivante :
L’épaisseur de 700-1000mb est corrigée par l’écart entre
la pression de surface et 1000mb, multiplié par 0.0133, ce qui donne une soustraction
de 2dam si la surface est à 850mb et 4dam pour une surface ayant une pression
de 700mb. Cela est tout à fait
équivalent à additionner la correction au seuil de 284dam (ci-haut) et ne pas
changer l’épaisseur.
L’épaisseur de la
700-850 mb est corrigée de façon similaire mais le facteur est deux fois
moindre : 0.0067, ce qui donne une correction
de 2dam qui est soustraite pour une surface ayant une pression de 700mb. Cela est tout à fait équivalent à additionner
la correction au seuil de 154dam (ci-haut) et ne pas changer l’épaisseur.
L’épaisseur 1000-850mb reste inchangé.
Cela a grandement amélioré les types de précipitations en
montagnes, mais c’est surement perfectible. En particulier, la modification de l’épaisseur
700-850mb lorsque la surface a une pression au-dessus de 850mb ( ce qui entraine que la couche 700-850 est au-dessus de la surface) semble sans
fondements physiques … On verra si on
peut améliorer cela. Cette modification
s’applique partout sur la grille.
Océans :
Contrairement aux terrains élevés ou on obtenait trop de
précipitation sous forme liquide, le diagnostic des épaisseurs donnait beaucoup
trop de neige sur les océans en Janvier. Il est remarquable que le couplage océanique
soit souvent significatif en Janvier (couche limite
instable et flux importants).
Ce contexte pourrait expliquer que les seuils
d’épaisseurs continentaux qui sont utilisés ci-haut donnent trop de neige et
pas assez de liquide sur l’océan (Pour une épaisseur donnée, le profil instable
aura plus de chaleur
dans le bas de la couche, pour faire fondre la neige au bas de
sa chute) .
J’ai donc introduit la correction suivante :
Si la
température de surface est > 4 C PLUIE
Si la température de surface est < 3 C On ne
change pas le diagnostic
Si la température de surface est > 3 et < 4 : alors si il y a plus de 50% de neige , on limite la neige à 50% et dans ce cas on
introduit 50% de pluie,
ce qui donnera un mélange des deux.
Une température de surface (à pression près de 1000mb) donne un niveau
de congélation à une hauteur de près de 350m avec un taux de refroidissement de
Shuman-Newell ( .66 degrés
par 100m) et de
près de 450m dans le cas, à la limite de l’instabilité absolue (un profil
adiabatique sèc bien mélangé). Il est typique de considérer qu’une couche
de plus de 300m est suffisante pour fondre complètement la neige. Donc, la règle du 4C semble bien avisée.
Cela a grandement amélioré les types de précipitations
autant dans le Pacifique que l’Atlantique pendant la période d’examen
(Janvier). On verra s’il y a lieu
d’améliorer cela, en particulier avec l’arrivée de la fin de l’hiver. Cette
modification s’applique partout sur la grille.
Les hauteurs géo potentielles de la 700mb, 850mb, et 1000mb, la pression de surface, ainsi que le
température de surface servent à diagnostiquer le type de
précipitation. Le diagnostic est fait
au début et à la fin de chaque période-intervalle d’accumulation. Il s’agit d’un diagnostic basé sur les
épaisseurs partielles avec des ajouts.
Il est décrit dans la suite.
G-3 Méthode 2 : Méthode pour couches ( analogue
à Bourgouin 2000)
(utilisée dans
imétéomaps de v2.005 à ?) :
Les hauteurs
géo potentielles et les températures de la 250mb, 500mb, 700mb, 850mb, et 1000mb, la pression de surface, ainsi que le température de surface servent à diagnostiquer le type de
précipitation.
L’addition de niveaux et de températures ajoute, en principe, plus de
précision (résolution verticale) que la méthode basée uniquement sur
les épaisseurs. Comme l’autre, le
diagnostic est fait au début et à la fin de chaque période-intervalle
d’accumulation. Il s’agit d’un diagnostic basé sur la
température estimées dans les couches, ainsi que les épaisseurs de celles-ci ( pour tenir compte du temps de résidence de la
précipitation en chute). Il est décrit
dans la suite.
De façon similaire à le méthode
de Bourgouin 2000, on
calcul l’écart entre le température d’une couche et le
point de congélation (273.15C). Dans le
cas de la méthode de Bourgouin, on utilise l’écart du log de la
température potentielle (entre le sommet et la base de la couche) multiplié par
l’écart de température au point de congélation afin d’estimer quelque chose
d’analogue à une aire positive (sur un téphigramme)
ce qui donne conceptuellement de l’énergie.
( Cp*T
ln ( theta2 /theta1) )
Dans le cas de Imeteomaps, l’aire positive ou
négative est obtenue par :
(1) Aire = Tcouche * DZcouche
Où Tbar est
l’écart entre la température moyenne de la couche et le point de
congélation et DZcouche
est l’épaisseur de la couche.
Ici l’épaisseur de la couche est conceptuellement une
mesure du temps de résidence de la précipitation dans cette couche en supposant
un vitesse de chute constante et uniforme. Il s’agit d’une simplification grossière bien
entendu.
Ensuite il s’agit d’établir des seuils d’aire positives
et d’aires négatives, afin de convertir la neige en pluie et la pluie en grésil
( si il y a lieu) en parcourant les couches
atmosphériques de haut en bas. Ici
l’aire négative ne prend son sens, que si elle est située sous une couche
d’aire positive assez grande pour qu’il y ait de la pluie. La méthode n’utilise pas ou très peu les
valeurs souterraines (le moins possible).
-----------------------------250mb, GZ, TT
- Tbar - - - -
- - -
- Tmid, 353mb
-----------------------------500
mb, GZ, TT
- Tbar - - - -
- - - -
- Tmid , 592mb
-----------------------------700mb, GZ, TT
- Tbar - - - -
- - - - Tmid, 771mb
-----------------------------850mb, , GZ, TT
- Tbar - - - -
- - -
- Tmid, 887mb
-----------------------------925mb, , GZ, TT
- Tbar - - - -
- - -
- Tmid, 962mb
-----------------------------1000mb, , GZ, TT
___________________ SFC , GZ, TT
Pour chaque couche, 250, 500, 700, 850, 925, et 1000mb, avec la pression
et le géopotentiel fourni par ECMWF, on peut déduire la température Tbar moyenne de cette couche en combinant
l’équation d’état des gaz parfait et en faisant l’hypothèse d’équilibre
hydrostatique :
Tbar = ( (GZ2 – GZ1) / R ) * LN( P2
/ P1 ) ou R =
287 J Kg -1 K-1
Tbar est
donc considéré comme une valeur donnée et connue. Par construction ce Tbar
correspond à la température moyenne de la couche, obtenue par
une intégration verticale en ln P (comme coordonnée verticale).
On veut ici utiliser Tbar,
ainsi que les températures aux frontières des couches afin d’estimer la température aux niveaux décalées :
Tmid. (voir schema
ci-haut). Notons
que les niveaux décalés représentent la moyenne géométrique des
températures aux frontières des couches ce qui correspond à une discrétisation
en ln P. On
faisant l’hypothèse de linéarité des variations verticales de température (en
ln P) entre les
frontières des couches et leurs niveaux décalés,
peut démontrer que :
Tmid = 2 * Tbar - ( T2
+ T1 ) / 2
On obtient ainsi une liste de niveaux ayant une
résolution 2 x fois plus élevée que le service de données. Donc, chaque couche contient 2 sous couches en considérant Tmid au niveau de pression décalé.
On peut ensuite calculer les aires de chaque sous
couches avec (1).
Attention 3 choses importantes ici :
1- Lorsque
le niveau de congélation est situé dans une sous couche, il y a alors une fraction de cette
sous couche qui a une aire positive et l’autre fraction ayant une aire
négative. Dans ce cas, les deux aires
sont estimées, toujours en supposant que les variations de températures dans la
verticale sont linéaire entre les niveaux et les
niveaux décalés. Bien entendu, la séquence (couche chaude sur couche
froide ou couche froide sur couche chaude
) est prise en compte selon le
contexte.
2- Lorsque
la surface se situe dans une sous couche, les valeurs souterraines de
Températures ou de géo potentiel ne sont pas utilisées. Dans le cas où le niveau voisin au-dessus de
la surface est un niveau non décalée, on n’utilisera pas Tmid , puisque ce dernier est sous terrain.
On utilisera plutôt la température de surface sur une couche plus mince
entre la surface et le niveau voisin. On utilise donc le
niveaux voisin (décallé ou non), au-dessus de la
surface ainsi que les données de température et de pression de surface pour
calculer l’aire (ou les aires) dans cette couche. Notez
que nous ne disposons pas de la hauteur géo potentielle à la surface
malheureusement. On doit donc considérer
cette couche sise entre la surface et le niveau d’au-dessus couche une seule couche, et on ne peut
y avoir un niveau décalé,
ce qui limite la précision.
3- Lorsque
la surface se située sous la 1000mb, (pression de surface plus élevée que
1000mb), la
couche sise entre 1000mb
et la surface constitue une couche additionnelle, qui sera prise en compte dans le
calcul des aires. Pour les même raison que ci-haut, sans hauteur géo potentielle de surface, il n’y a pas
malheureusement pas de niveaux décalé dans cette
couche.
Cette couche, tout juste au-dessus de la surface est très
importante dans le cas de la transition pluie-neige ou pluie-grésil… l’ajout d’un champs constant
tel la hauteur géo potentiel (dans les données de 0h) y doublerait la résolution vertical.
Ce serait aussi bien bénéfique en secteur montagneux (pression de
surface au-dessus de 850mb) où l’espacement des niveaux de données est plus grands, et donc la
résolution au-dessus de la surface dans ces secteurs gagnerait beaucoup à être
augmentée.
Les aires positive et potentiellement négatives sont
donc cumulés jusqu’à
la surface. Ensuite, les seuil suivants sont
utilisés :
AireP1 :
50 K dam (
équation (1) écart de température x hauteur)
AireP2 :
75 K dam
La neige demeure intacte si l’aire positive est plus
petite que AireP1
La neige se transforme graduellement en pluie entre
AireP1 et AireP2
La neige a complètement fondue au-dessus de AireP2
AireN1 :
129 K dam
AireN2 :
160 K dam
La pluie demeure intacte si l’aire négative est plus
petite que AireN1
La pluie se transforme graduellement en grésil entre
AireN1 et AireN2
La pluie a complétement cristallisée
au-dessus du seuil AireN2
Il est bien entendu que la pluie se transformera
complétement en verglas lorsque la température de surface est sous zéro. Il faudrait bénéficier de données plus
précises et d’un schéma estimant la température des gouttes de pluies si on
voulait distinguer les cas de ZR et de RZ.
Les valeurs des seuils doivent être ajustées dans le
futur. La saison avancée, et la
disponibilité de l’auteur sont deux facteurs qui suggèrent la considération d’un
ajustement plus précis à l’hivers 2023-24.
On vaudra possiblement tenir en compte la stabilité de
la couche (comparaison entre la température de la base et du sommet) afin de modifier le seuil ou l’aire
calculée. À voir… L’analyse de la méthode Bourgouin sous cet
angle porte à conclure que, pour une température moyenne donnée, la couche moins stable donnera une
aire positive ou négative moins élevée, qu’une couche stable, et beaucoup moins élevée qu’une couche
isotherme. Rappelons que dans ce cas, l’aire
donnée par Cp*T
ln ( theta2 /theta1). Dans le cas le moins stable theta2 tends
vers theta1, et
alors ln ( theta2 /theta1) tends vers 0 !! Cela soulève un questionnement, lorsqu’on considère la faible
stabilité verticale au-dessus d’un nez chaud à 850mb, relativement à la couche très stable
sise sous le nez chaud. Dans le cas de la présente méthode, le calcul de l’aire
semble, a priori, moins
sensible à la stabilité vertical, mais cet enjeux
demeure une préoccupation...
On pourrait aussi explorer comment on peut utiliser
les températures potentielles du thermomètre mouillé ( la
température du thermomètre mouillé est, à l’équilibre, une excellente approximation pour la
température d’une goutte (ou un flocon de neige mouillé) en chute.
L’expérimentation avec cette méthode et ces seuils
donne de bien meilleurs résultats que la méthode précédente. Voici quelques observations :
- La
méthode précédente avait un correctif sur l’océan, afin d’y diminuer la neige, au profit
de la pluie, mais
ce correctif ne réglait pas complètement la situation…
- Cette
méthode donne moins de neige et donc la remplace par de la pluie (ou du
verglas, grésil) près des grands lacs, et sur le Golfe-St-Laurent et les eaux
froides de la cote Est, le secteur des maritimes lorsque la
surface est faiblement au-dessus de zéro.
- La
méthode précédente avait un correctif sur les montagnes, afin d’y diminuer la précipitation
liquide, et ajouter de la neige, mais ce correctif ne réglait pas
complètement la situation…
- Cette
méthode donne encore moins de verglas dans les montagnes, bien qu’on en retrouve encore… Une comparaison avec un produit
d’accumulation verglas publié par ECMWF suggère que notre diagnostique de
verglas est correct dans la très grande majorité des cas. Dans le cas du verglas, la précision
temporelle est un facteur… (voir ce qui suit)
- Les
seuils d’aire négatives ont été ajustés sur quelques cas, mais les épisodes de grésils sont
plus rares en mars…
En comparaison avec la méthode précédente, voici des
avantages :
- Davantage
de précision puisque la combinaison des températures aux niveaux de services et
des températures décalée est assurément une meilleure utilisation de
l’information que la seule utilisation de deux épaisseurs.
- La
prise en compte de la couche sise entre la surface et 1000mb lorsque la
pression de surface est plus élevée que 1000mb.
- L’absence
de correctif - patchs (l’autre en avait 2)…
- La
non-utilisation des valeurs sous terraines.
Inconvénients :
- On
doit utiliser plus de données, et faire plus de calculs
- On
doit fixer des seuils qui ne sont pas connues…
G – 4 Schéma
temporel
(utilisée pour toute les version de
v2.001 à aujourd’hui):
Le diagnostic qui permet ici d’offrir les accumulations
par types est limité en précision pour plusieurs raisons comme nous venons de
le voir. Puisqu’il s’agit d’accumulation
de précipitation, la résolution temporelle représente aussi une limitation
sérieuse. Le diagnostic est fait au
début et à la fin de chaque période-intervalle d’accumulation, mais dans
certains cas, il ne peut pas bien représenter tout la période.
D’abord, si bon soit-il, ce diagnostic est fait aux 3h ou
aux 6h, et non
pas à chaque pas de temps comme dans les produits du CMC. Dans le cas où le type de précipitation ne
change pas dans l’intervalle de 3h ou 6h, cette longueur de temps n’a pas
d’impact. Évidemment ce n’est pas
toujours le cas… et c’est là où se situe la difficulté.
Prenons l’exemple d’une bande de grésil d’une durée d’une
heure environ et se déplaçant à 40km/h.
Elle a de bonne chance de passer entre deux temps de services espacés de
3 ou 6h, ce GRESIL sera alors non détecté à plusieurs endroits. Il peut toutefois être détecté chez des
points de grilles voisins où le diagnostic indiquant du grésil correspond à
temps de prévision qui est multiple de 3h ou de 6h. On aura idéalement un diagnostic correct de
grésil pour ce temps en particulier à cet endroit. Ce temps correspond à la fin d’une période
de précipitation courante (disons) et aussi au début de la période de précipitation
suivante. C’est donc dire qui si le
schéma est centré (si on utilise ce diagnostic pour les deux périodes celle qui
se termine en grésil et celle qui débute en grésil) , on se retrouve avec deux périodes de 3h ou 6h avec du
grésil. Cette bande de grésil de 40km
se déplaçant à 40km/h
sera interprétée d’une durée de 6h ou 12h à cet endroit, cela
ressemble à de l’alliasing pas mal…
De plus, avec un schémas centré
(ou le diagnostic du début et de la fin de l’intervalle sont utilisés), on observe des
bandes parallèles de grésils en doublets alignée perpendiculairement au
mouvement. Cela se produit parce que
la bande était située 3h auparavant, à 120km en amont de sa position
actuelle (soit environ 3 points de grilles) et elle n’a qu’un point de grille de longueur ( dans le
sens du mouvement).
C’est une
situation similaire à l’instabilité horizontal dans un schéma numérique, un genre
de nombre de courant (C0). Ici on
a :
C0 = (
(vitesse de propagation) * DeltaT)
/ DeltaX
Avec deltaX = 44km et DeltaT = 3h, et si C0 < 1 est notre
critère de stabilité,
le tout serait à la limite de la stabilité pour des vitesses de
propagation de 15km/h
ou moins. C’est souvent
plus rapide que cela…
Et si l’on considère les pas de temps d’une longueur
de 6h après l’échéance de 144h, la vitesse critique devient moins de 7km/h !
Revenons à notre exemple, la bande de grésil est détectée
au début du pas de temps 3 points de grilles en amont du déplacement par
rapport à sa position à la fin du pas de temps.
Les deux rangées de points de grilles entre les deux n’ont pas de
verglas-grésil puisque
cette bande relativement mince passe entre les pas de temps sur ces secteurs
(entre les mailles du filet). Cela
n’est pas évident…
Décentrage isolé
pour grésil et verglas:
Bref… pour le grésil et le verglas :
Si il y a du grésil au début du pas de temps, mais pas de grésil à fin, on utilisera
seulement le diagnostic de la fin du pas de temps. Toutefois, si il y
a du grésil au début et à la fin, pas de problème on ne change rien on
utilisera le schéma centré.
A- Le début de la période de grésil sera toujours assigné à la bonne période,
mais la quantité pourra être surévaluée pour cette intervalle qui correspond au
début du grésil à un endroit donnée.
B- Par ailleurs, la fin de la période de GRESIL sera systématiquement tronquée
dans le temps et alors la quantité de grésil dans cette période où le grésil se
termine, sera sous-évaluée systématiquement.
C- La surévaluation au début pourrait compenser la sous-évaluation à la fin
dans certains cas... et peut-être statistiquement, mais l’occurrence sera décalé vers l’avant (un peu trop rapide). Le biais sur le timming
du début et de la fin du GRESIL sera toujours présent dans un tel schéma
décentré vers l’avant.
Et de même pour le verglas, s’il est diagnostiqué
seulement au début du pas de temps, on utilisera seulement le diagnostic de la
fin pas de temps quel qu’il soit.
Toutefois, si il est diagnostiqué au début et
à la fin, ou à la fin seulement, le schéma sera centré.
Les remarques A B et C ci-haut se rapportant au grésil
s’appliquent de la même façon pour le verglas.
Décentrage généralisé
par pondération des précipitations :
Il arrive que la précipitation cesse ou débute pendant
l’intervalle.
Si la précipitation débute, alors le diagnostic au début
de l’intervalle qui est fait alors qu’il n’y a pas de précipitation, risque
d’être moins représentatif que celui de la fin de l’intervalle ou il y a
précipitation. On peut détecter que la précipitation débute dans un intervalle si il y a une accumulation totale nulle au pas de temps
précédent.
De même si la
précipitation cesse pendant l’intervalle, alors le diagnostic de fin
d’intervalle risque d’être moins représentatif.
On peut détecter que la précipitation cesse dans un intervalle si il y a une accumulation totale nulle au pas de temps
suivant.
On pourrait généraliser et affirmer que le diagnostic qui
coïncide avec des précipitations plus forte (à la fin ou au début de
l’intervalle) sera davantage représentatif des accumulations par type dans
cette période. J’ai donc introduit un
poids qui décentre le schéma en fonction des précipitations des pas de temps
voisins (précédant et suivant).
Dans un schéma parfaitement centré :
Diagnostic = (diagnostic début + diagnostic fin ) / 2
Dans notre schéma avec décentrage variable, on a :
Diagnostic = ((poidsD)
(diagnostic début) +
(poidsF)(diagnostic fin)) /
( poidsD
+ poidsF)
Où
poidsD = 2 * PCPN_A + PCPN et poidsF =
PCPN + 2 * PCPN_S
et PCPN = précipitation de l’intervalle actuel
PCPN_P
= précipitation de l’intervalle Précédent
PCPN_S
= précipitation de l’intervalle Suivant
L’introduction de ce décentrage a amélioré les types de
précipitations derrière les fronts froids sur le sud-ouest des USA (moins de
neige), ainsi
que dans le cas d’intrusions sèches dans les secteurs chauds (moins de pluie), ce qui a mieux
vérifié dans ces situations.
On verra s’il y a lieu d’améliorer ces décentrages, en
particulier avec l’arrivé de la fin de l’hiver ou de l’automne. Ces
modifications s’appliquent partout sur la grille. André Plante a suggéré l’utilisation
d’interpolations temporelles des épaisseurs afin de générer des diagnostiques
intermédiaires durant l’intervalle. Cela
pourrait apporter certains bénéfices puisque les diagnostics sont basés sur des
seuils et sont dont catégoriques alors que les épaisseurs sont plus continues
en natures et donc plus compatibles avec des interpolations … on verra !
Voila !!
Cantin,
A., and D. Bachand, 1993: Synoptic pattern recognition and
partial
thickness techniques as a tool for precipitation types forecasting
associated
with a winter storm. Centre Meteorologique
du Quebec Tech. Note 93N-002, 9 pp. [Available from
Environmental
Weather
Services Office, 100, boul. Alexis-Nihon,
Suite 300, Saint-Laurent, PQ H4M 2N8, Canada.]
Historique de versions :
Items spécifiques à la version 3.0:
(Les
introductions des versions précédentes sont à la fin )
Version 3 : Première version avec couches
composées de mosaïques d'images :
Les cartes colorées
(palettes RGB pixelisées) ont plusieurs niveaux de zoom où la résolution double
à chaque niveau de zoom, au fur et à mesure que l'on zoom davantage vers les
petites échelles. Le domaine complet est
représenté par n x n
images ou n = 2Z, Z étant le niveau de zoom.
· Au
premier niveau (z=0): une seule image
· Au
deuxième niveau (z=1): 4 images (2x2)
· Au
troisième niveau: 16 images (4x4)
Les cartes visibles par contours
(GZ, PNM), symboles de localisation (foudre), des flèches de directions ( vents, ou courants marins), ont aussi les
trois premiers zoom et un
· quatrième niveau de zoom, et donc
64 images (8x8)
au
zoom le plus détaillé.
L’objectif est de
ne transférer, et ne charger en mémoire, que le niveau de détail qui sera
visible par les pixels de l'écran, pour le bénéfice de l’utilisateur. Ceci prend effet lorsque l’utilisateur zoom
afin de visualiser une sous-région à l’intérieur du domaine géographique
couvert par la carte météo. Cette économie de transferts de données peut se
traduire par une meilleure performance (lenteur, réseau, animation plus rapide,
etc.) et une meilleur qualité d’image lorsque le zoom le
requiert. Bien entendu, cela se traduit
aussi une économie de frais de transfert sur votre réseau d’internet.
Les cartes 1 et 2, comportent
désormais chacun une co-couche.
La co-carte est une
image avec des flèches, contours, ou symboles. La co-carte
s'affiche par-dessus les cartes principale (qui est souvent une carte avec
palette de couleur, mais pas nécessairement).
Il y a donc 2 menus additionnels
pour la sélection de cartes météo de co-cartes, ce
qui augmente grandement les possibilités de superpositions.
Notez que le nombre de tuiles affichés
apparait juste à côté de chacune des cartes et co-cartes. Cela peut guider l’utilisateur qui souhaite
optimiser (minimiser) le nombre de tuile demandées en ajustant le zoom en
conséquence. Le chiffre -1 s’affiche
lorsque rien n’est sélectionné pour cette cartes ou co-carte.
Autres changements :
· Le
zoom ainsi que le centre géographique de la carte sont conservés afin de rendre
le même contexte au redémarrage. Rappelons ici qu’il existe 3 contextes de
démarrage: le démarrage avec l’ajout des
paramètres suivants à l’URL :
§ ?nowcast afin de sauvegarder et retrouver vos
sélections de cartes concernant le nowcasting (GOES,
RADAR, FOUDRE),
§ ?windmaps
qui offre une interface simplifiée pour desservir ceux qui cherchent des
précisions sur les prévisions de vents sur le sud du Québec.
§ Aucun
ajout qui est pour un usage général.
· Tous
les produits sont offerts sur projection géographique EPSG:3857.
· Les produits du système HRDPS sont offerts à
toutes les heures d’échéances sur deux domaines : Domaine Est pour météo générale et
domaine Sud du Québec (vents sur le fleuve). Voir menu système de prévision : section C 1-.
· Dans
l’ensemble on notera une amélioration substantielle de la précision dans
l’affichage des directions de vents, ce qui est un bénéfice de l’affichage par
tuile.
· On
note également une meilleure précision des lignes contours, et une facilité
accrue à en lire les valeurs de contours.
· Dans
le cas du Nowcasting (GOES, RADAR, Foudre), les trois
produits sont offerts en tant que tels, ou de manière
combinées en sélectionnant GOES+ (menu système de
prévision : section C 1-). La préparation des trois produits de nowcasting ont été modifiés
substantiellement. Une seule fenêtre
est désormais offerte.
· Les
valeurs aux points de grilles (menu Valeur : sélection popup) peuvent
désormais être demandées pour les cartes 1 et 2 à la fois (il faut faire deux
sélections successives au menu Valeurs), ce qui inclut le mode de couches
juxtaposées ou intercalées (voir menu Couches). En mode couches superposées, les popup de valeurs seront superposés
si les deux cartes ont le popup actifs, ce qui est à
éviter…
· L’option
Meteogrm est désormais accessible pour le modèle AIFS
(ECMWF opère et distribue les prévision de ce modèle
basé sur l’intelligence Artificielle).
Cette option présente des météogrammes du
modèle AIFS en configuration déterministe, ainsi que des diagrammes boites à
moustache (box plot)
issues des ensembles de l’AIFS.
Cela est analogue à ce qui est offert pour le modèle IFS de ECMWF, sauf que
certaines variables n’y sont pas.
· Des
repères géographiques de premier plan (affichés par-dessus les champs météo)
ont été ajoutés. D’autres deviennent
visibles lorsque le zoom demande des détails additionnels, comme par exemple, les rivières, ainsi que les routes canadiennes.
Introduction à la version 2.1 (Mai 2024):
Trois types de
lancements :
https://imeteo.ca/html/imeteomaps pour
les sélections de systèmes de prévisions au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?nowcast pour
les sélections de nowcasting au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?windmaps pour
le contexte des vents sur le fleuve
Cette version permet le lancement de l’interface en ajoutant les
paramètres suivants à la suite de l’URL:
?nowcast
?windmaps
Le paramètre
?nowcast vous offrira, au départ, les sélections de votre dernière
session lorsqu’il s’agit des cartes qui sont catégorisées nowcast. Ces cartes dites nowcast
sont offertes sous les menus GOES, RADAR. Ces sélections de cartes, le mode
d’animation (intercalé, superposé, juxtaposé (nouveau) ) seront rendu
disponibles lors du prochain redémarrage de cette catégorie ?nowcast. Ces
valeurs sont conservées sur votre appareil.
Il ne s’agit pas cookies; ces données sont à l’usage exclusif de
cette application imeteomaps afin conserver les
traces du plus récent usage sur un appareil donné.
Le paramètre
?windmaps
vous offrira une interface simplifié donnant accès aux vents prévues par
le système HRDPS sur 3 fenêtres le long du fleuve St-Laurent. Cette version de l’interface dite ?windmaps conservera de manière
distinctes les sélections de votre dernière session. Ces valeurs sont conservées sur votre
appareil. Il ne s’agit pas cookies; ces données
sont à l’usage exclusif de cette application imeteomaps
afin de conserver les traces du plus récent usage sur un appareil donné.
Le lancement de l’interface
sans paramètre, vous donnera
l’interface normal
avec vos plus récentes sélections de cartes, de mode d’animation, de position de popup, dans ce mode général. Il y a donc 3 modes pour lesquels le
plus récent usage est conservé pour une session ultérieur.
Notez que le mode de lancement sans paramètre, et le mode ?nowcasting, lancent une interface identique; la
différence étant uniquement dans les sélections de départs pour les cartes, le mode
d’animation. Toutefois, le lancement en mode ?windmaps vous offrira une
interface simplifié,
en plus de tenir compte de vos sélection historiques dans ce
contexte.
Ces trois possibilités de lancement, peuvent être associés à trois
bookmarks/favories distincts :
https://imeteo.ca/html/imeteomaps pour
les sélections de systèmes de prévisions au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?nowcast pour
les sélections de nowcasting au départ
https://imeteo.ca/html/imeteomaps?windmaps pour
le contexte des vents sur le fleuve
Modèle IA basé sur les réanalyse ECMWF : AIFS
nouveau venu!
Une grande nouveauté de cette version est l’ajout de produits du modèle
fonctionnant avec l’Intelligence
Artificielle du
centre Européen, dont
l’acronyme est AIFS. Ces produits sont très limités en résolution
spatiale (par rapport à la grille de calcul du modèle), et temporelle. Également le nombre de variables offertes
est minimal; il s’agit de l’offre gratuite du ECMWF, dans le cadre de sa politique
de données ouvertes. Il y a donc
possiblement certaines imprécisions dans certains produits. Une section est consacrée à ce sujet à la fin
de ce document a la section G
(même documentation que pour le modèle IFS d’ECMWF).
Juxtapositions
de cartes via le menus Couches :
On note également une nouveauté concernant la fonctionnalité, la présentation des cartes : le mode Juxtaposition. Ce mode offre deux cartes jumelles
(juxtaposées) celle de gauche affichant la carte sélectionné
aux menus 1, et
la carte de droite affichant la carte sélectionnée au menu 2. Ces deux cartes géographiques sont
rigoureusement équivalentes et répondent de manière simultanée aux changements
de zoom et aux déplacement géographiques horizontaux. Notez que les modes Valeurs pour la carte 2
ne sont pas encore fonctionnels en mode juxtaposition.
Autres changements (les détails se
trouvent dans les rubriques concernées):
-Ajout de Profils
verticaux offerts par ECMWF (pour système déterministes et ensemblistes)
-Modification au comportement du popup
-Ajout du point de rosée de surface pour ECMWF
Version 2.0065 Introduction à la version 2.0065 (Juin 2023):
Cette version permet
d’introduire l’imagerie satellitaire, la Foudre et les données Radar (nouveau ). Il s’agit
d’un gros changement dans la mécanique interne puisque le temps de validité de
ces produits est axé sur le passé, alors que les systèmes de prévisions sont
portés vers le futur… et aussi,
la grandeur des pas de temps se comptent en minutes dans le
contexte des Radars et satellites, et en secondes pour la foudre, alors que
pour les modèles c’est l’heure qui est l’unité typique. Cela fait en sorte que la difficulté monte
d’un cran, lorsqu’il s’agit de recherche de temps valides superposables, ou
d’associations appropriées de couches 1 et 2, dans l’effort de jumelage de
l’information. 😉 Cette
version comporte peu de changements en ce qui a trait aux systèmes de
prévisions en tant que tels. On notera
que la bannière d’affichage de temps valide se dédouble parfois afin de montrer
distinctement le temps valide des deux couches affichées (nouveau
). Cela est devenu nécessaire
puisque les temps valides de certaines couches associées peuvent différés
légèrement (les satellites sont aux 5 minutes alors que les Radars sont aux 6
minutes… leur temps valides coïncident deux fois par heure seulement). Un affichage explicite des temps de validité
dans ces situations est donc de rigueur.
Lors de votre deuxième
démarrage de cette nouvelle interface, vous noterez une nouveauté… L’interface
conserve désormais vos dernières sélections de Systèmes-de-prévision et de
Cartes-météo de manière à pouvoir vous redonner ce contexte à votre prochain
redémarrage. Le mode d’animation
(voir Menu Couche section E-, dans ce document) intercalé ou Superposé
est également conservé et redonné lors de votre prochain redémarrage. Enfin, pour cette version, on conserve aussi les coordonnées
(latitudes longitudes) de votre dernier point de clic pour les valeurs (qu’il
s’agisse de série temporelle de SpotWx, de météogrammes (GDPS et ECMWF) ou de valeurs au
points de grilles,
voir section D menu Valeur de ce document) afin de le rendre
disponible lors de votre prochaine activation de Valeurs suite
à un redémarrage.
On peut désormais
remettre à jour les dates d’origines en cliquant sur un nouveau
bouton : Date d’origine
situé en haut des menus de sélections de dates d’origines. Les versions précédentes de l’interface y
avaient une étiquette inerte, afin d’ identifier les
deux menus situés juste en bas.
L’étiquette est demeuré et conserve sa fonction
d’identification, mais il s’agit aussi d’un bouton et en y cliquant, on obtiendra les plus récentes dates
d’origines. Également, les bannières Interv. ,
Début et Fin situés au-dessus
des menus de sélections d’Intervalle de début et de fin respectivement, sont devenus des nouveaux
boutons. Un clic sur ces boutons remet
la variable à sa valeur par défaut.
Enfin, on notera
également l’introduction de la semi transparence de arrière-plan (nouveau) de la bannière d’affichage du
temps valide ce qui en facilite la lisibilité, en particulier lorsque la carte météo
est encombrée, ou
lorsque le fond géographique noir est sélectionné. La semi transparence
a aussi été introduite dans l’arrière-plan du menu des contrôles d’animation (nouveau ) et de pas
de temps.
Introduction à la version 2.005
(fin de l’hiver 2023) :
La grande nouveauté de
cette version est l’ajout de produits du centre Européen, dont l’acronyme est bien connu : ECMWF . Ces produits
sont très limités en résolution spatiale (par rapport à la grille de calcul du
modèle), et temporelle. Également le
nombre de variables offertes est minimal; il s’agit de l’offre gratuite du ECMWF, dans le
cadre de sa politique de données ouvertes.
Il y a donc possiblement certaines imprécisions dans certains
produits. Une section est consacrée à ce
sujet à la fin de ce document a la section G .
L’autre nouveauté est
liée aux sources de données du HRDPS au CMC.
En lien direct avec l’arrêt du service de données grib
du CMC pour HRDPS sur grille Polaire Stéréographique, nous avons dû nous
tourner (sans jeu de mot) vers le service en format de grille Lat-Lon tournée; grille conforme avec la grille native
(grille de calcul) de GEM.
De façon général chaque système de prévision a une projection géographique
associée, déterminée lors de la création des images à partir
des données du service de prévisions. De manière générale, on tente de
conserver la projection géographique offerte par le service de prévision tel
que décodée dans le fichier GRIB ou fichier NetCdf.
Les produits du HRDPS
de imeteomaps sont encore offert sur la grille
Polaire Stéréographique a 2,5km sur laquelle on nous offrait le grib au CMC. A venir
jusqu’à tout récemment, cela n’entrainait aucune interpolation. Toutefois, à compter de maintenant, le HRDPS
sera interpolé à
partir de la grille Lat-Lon tournée (du service de
données) vers la grille polaire stéréographique. On évaluera la faisabilité et la pertinence
de faire les produits sans interpolations dans le futur (lorsque le travail
d’implémentation de la grille tournée dans l’interface OpenLayer
aura été complété).
Les données du GFS et
du ECMWF sont interpolées (en conservant la projection WGS84, grille Lon-Lat
ordinaire comme le GDPS) vers une résolution équivalente au service grib du GDPS (15km).
Cela est fait uniquement pour des raisons de lisibilité, la résolution
du service de donnée de la NOAA (25km) et du OpenData
de ECMWF (44km) étant
trop faible pour l’obtention d’une image acceptable sur nos écrans. Notez que la précipitation y est interpolée
en mode plus proche voisin.
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